Proies (Les)

Synopsis

Dans la forêt des Landes, depuis leur cabane, des hommes scrutent le ciel d'automne. Ils écoutent les bruissements de la forêt et guettent avec avidité le passage des oiseaux. Dans une étrange chorégraphie, ils tirent sur les ficelles du temps pour actionner leur piège. Mais leur terrain de jeu est menacé, tout comme leur pratique ancestrale, et tout autour, les arbres tombent.

Mots-clés / thèmes : Landes, écologie, chasse, oiseau, forêt, tradition

Fiche technique n°20005

Équipe technique

Réalisateur De Contes Marine
Producteur L'Atelier Documentaire
Distributeur L'Atelier Documentaire
Musique Julienne Thomas
Montage De Contes Marine
Soutien Ciclic - Région Centre : Aide a la coproduction

Sélection

Sélection Compétition française, Cinéma du réel 2018

Palmarès

Prix de l'Institut français - Louis Marcorelles - Compétition française, Cinéma du Réel 2018

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À propos de Marine de Contes


Pourquoi filmez-vous ?

« Je filme pour créer du lien. Le cinéma, c'est avant tout une rencontre avec les personnes filmées puis avec les spectateurs pour se confronter à une réalité qui nous est parfois inconnue. Avec ce film, je propose une immersion dans la forêt, avec des chasseurs de palombe. Sur grand écran, le film est une expérience sensorielle : les paysages deviennent majestueux, les sons nous enveloppent, le temps est suspendu et nous somme captivés par ce dispositif. »


Son parcours

Marine de Contes est une jeune réalisatrice et monteuse trilingue (français, espagnol, anglais). Après avoir étudié le cinéma documentaire à Buenos Aires (1 an à l'Observatorio de Cine), elle se tourne en 2008 vers le montage avec un cursus entier à l'ECAM de Madrid (dont le fonctionnement est similaire à La Femis). Depuis, elle a réalisé 4 documentaires (2 courts et 2 moyens) et un court-métrage de fiction. Assistante montage sur une dizaine de longs métrages distribués en France et en Espagne, elle a également monté une dizaine de courts métrages, une série de fiction (6x52') et 6 documentaires : « J'aime le montage car c'est la phase où l'on construit le récit avec les images et les sons dont on dispose, on cherche la structure, on se plonge dans les rushes jusqu'à en extraire l'essence du film que l'on voit apparaître de jour en jour, sous nos yeux attentifs. »